Abdou Diouf, un criminel à la tête de la Francophonie
La Casamance, parce qu’elle persiste à croire en des valeurs universelles héritées depuis des centenaires, parce qu’elle a une histoire autre que le Sénégal, parce qu’elle a chassé les différents occidentaux colons de son territoire et qu’elle joue un rôle déterminant dans la stabilité géopolitique en Afrique de l’Ouest, elle ne peut échapper à la reconnaissance internationale dans les prochains mois.
Il ne faut surtout pas s’en cacher, la voix de la Casamance, ces dernières années, est très audible et très audacieuse. L’affirmation officielle du président américain Barack Obama en juin 2013 de l’engagement politique des Etats-Unis dans le règlement pacifique du conflit note de la conscience politique internationale et ceci jusqu’à l’homme le plus puissant de la planète. Oui, la Casamance fait trembler et le monde entier l’a compris.
Malheureusement, un seul n’a rien compris, le criminel assassin Abdou Diouf ancien président du Sénégal, actuel secrétaire général de la francophonie, sabres au clair, avec une folie rageuse de soif de sang, a tué et empoisonné chimiquement des dizaines de milliers de Casamançais tous des francophones. Le 24 août 1997, Abdou Diouf a envoyé sa brigade spéciale de tueurs contre les enseignants de la langue française du quartier de Tilène Ziguinchor : Simon Malou, Léon Toupane et François Sambou mais aussi Sarani Manga Badiane, Koulamouyo Edgar Diédhiou et Sékou Sadio. Depuis, les familles ne retrouvent pas les corps. Malgré les rapports d’Amnesty International et de Human Rights Watch, l’on se demande encore aujourd’hui pourquoi ce Monsieur qualifié de « Nazi de l’Afrique» dans certains milieux politiques canadiens, belges suisses et français, échappe- t-il à la justice des hommes. Peu importe l’attitude de la communauté internationale, la Casamance jugera tous les assassins qui ont versé gratuitement le sang de ses martyrs même s’ils meurent à l’étranger.
Bintou Diallo
SinkurBadin
Comme Desmond Tutu vient de le déclarer, la voyoucratie génocidaire des gouvernants africains ne devra plus jamais se sentir en sécurité où qu’elle aille de par le monde ! J’encourage le jugement de tous ceux qui ont le sang de leur peuple sur les mains.
Aucun doute, au sein de l’Afrique il y a des criminels qui ne sont pas visés par la CPI, il suffit qu’ils soient du bon bord (Francophonie) ils ne seront jamais inquiétés, le cas d’Abdou Diouf qui colonise par la force un peuple sans défense, l’enferme dans des prisons à ciel ouvert, le martyrise, le spolie de toutes ses richesses, sans susciter la moindre réaction des prétendues démocraties, qui tentent de jouer les justiciers des nations faibles ou celles qui ne courbent pas l’échine face à leur diktat.
Le mode de gouvernance de la CPI doit être revu et investi par tous les africains qui ont à cœur la justice dans leur continent et Abdou Diouf doit passer à la CPI si justice il y a.
atika net
CET HOMME EST UNE SANGUINAIRE,IL EST PLUS GRAND CRIMINEL DE L’AFRIQUE DE L’OUEST.
Mendycasa
Le titre a tout dit. Moi mes parents ont été embarqués dans un bateau de la marine sénégalaise avec d’autres casamançais pour Dakar et il faut savoir ce qui s’est passé en mer, dans certains commissariats de police, dans les gendarmeries, aux caves du ministère sénégalais de l’intérieur et d’autres tabassages pendant la déportation. Des bébés jetés à terre, des femmes torturées, des hommes humiliez devant leur épouse car ce n’est pas seulement le 24 août 1997 mais bien avant et après ce jour noir qui a endeuillé la communauté casamançaise que ces massacres ont eu lieu .
Certains casamançais ne veulent pas en parler comme ces politiciens ou ces historiens ou encore ces étudiants et fonctionnaires ou ces journalistes- Pourquoi ? tout simplement pour éviter de faire le procès du Sénégal et de Léopold Sédar Senghor qui a assassiné Victor Diatta, d’ Abdou Diouf et Ablaye Wade pour leurs crimes abominables ! Il faut en parler sans haine pour que justice soit un jour faite.