Sénégal: Le campus universitaire de Dakar en ébullition et les morts se comptent
Le campus en pleine ébullition, le ministre Mary teuw Niane au lieu de payer les bourses des étudiants envoi les GMI massacrer ces derniers. Les morts se comptent.
Le film d’une tragédie raconté par des étudiants.
Cette tragédie est le fruit d’un forcing d’une cohabitation impossible entre étudiants et policiers au sein du campus universitaire exécuté par nos gouvernants. Dans la nuit du Mercredi 13 Aout 2014, si ce n’était pas l’engagement des étudiants pour la défense de l’honneur, la police allait mater sans résistance les étudiants qui ne demandent qu’à être payer, cependant ils ne se sont pas laisser faire nous dit Ousmane Sow de la Faculté de droit.
Juste un détail important à retenir : le délai de 48 h annoncé par le Ministre Mary Teuw Niane venait de s’écouler ce jour là et ce dernier a redemandé encore 48 h pour payer les bourses : toutes les bourses dit-il. Malheureusement, depuis le début de l’année les étudiants attendent en vain cette bourse. En cela nous avons remarqué durant la fin de cette après midi une augmentation de l’effectif des policiers dans le campus et vraiment de façon exagéré et provocante vue la situation.
L’on se demande même pourquoi cette augmentation d’effectif ? Savaient-ils (les policiers) que les bourses n’allaient pas être payées comme le déclare Mary Teuw Niane ? Si cela s’avère alors pourquoi Mary Teuw s’adresse publiquement au Sénégalais pour ainsi raconter des contres vérités ?
Un étudiant nous rapporte qu’à 20 H, la police arme et sans attendre se met à tirer partout, il s’en est suivie les cris des étudiants disant: nous ne voulons pas nous battre avec vous. La réponse de la police fut des tirs exagérés de bombe lacrymogène empestant l’atmosphère du Campus universitaire. Lux mea lex se transforme ainsi par la riposte est ma loi. Pour MBallo étudiant à la FLSH, le diable s’est installé dans l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et décidément dicte sa volonté qui n’est rien d’autre que de martyriser les pauvres étudiants. Fallait voir la détermination de cet appareil aux mains du Diable (la police) avec toute la détermination sur le terrain entrain de dérouler l’œuvre du Diable. Ils visaient directement dans les chambres, mais le ciel a eu raison de leur malice. Les étudiants ont pu apporter la réponse qu’il fallait.
ils ont cherché depuis le début de l’année tout en sachant que les étudiants ne pouvaient cohabiter avec la police au sein du campus social, c’est finalement aujourd’hui le 14 Aout 2014 après moult tentatives qu’ils (les policiers) ont finit par répandre le mal dans le campus en l’inondant depuis dix heure de bombes lacrymogène, de balles blanc, de grenades dont nous ignorons les noms mais pour lesquelles la capacité dévastatrice est connue de tout les étudiants. C’est ainsi que la police passa a l’offensive pour envahir les pavillons vers midi. Fallait être là pour comprendre l’ampleur de l’horreur déroulé par les policiers dans les pavillons. Ils ont défoncé les pavillons sur toute la ligne en épargnant que le pavillon Q et les deux nouveaux pavillons à savoir R et S ainsi que le PM. Sur leur chemin ils ont tabassé, je dirais mieux massacrer, piller, saccagé, en somme dans le déshonneur ils (les policiers) ont abattu une âme innocente: Bassirou faye de la FST mort sur place. Le policier qui a tiré avait le téléphone collé à l’oreille. A qui il parlé ? Je me suis demandé en portant le camarade au service médicale nous rapporte l’étudiant Matar Fall. Des centaines d’autres étudiants sont gravement blessé, d’autres ont sautés des toits, d’autres ont reçu des balles blanc, d’autre massacrer par l’instrument du diable.
Voyez-vous la haine que ces derniers ont à l’endroit des étudiants.
AUJOURD’HUI UN AUTRE ETUDIANT EST PARTI, SÉNÉGAL, SÉNÉGAL, JUSQU’À QUAND ?
Seul l’unité des étudiants peut nous sortir de cette impasse, alors n’attendons personne. Joignons nos forces pour l’intérêt de notre corporation et du Sénégal. Le combat ne se trouve pas dans cette intifada que le Diable nous force. Tournons le dos à ce dernier qui cherche à nous égarer pour enfin sacrifier nos vies. Nous ferions mieux si nous (………………………) à vous de compléter.
Étudiants ensemble, nous vaincrons chantonnent t-ils.
Baba