Casamance : les étudiants du Kekendo s’interrogent.
Il arrive des moments dans la vie de l’homme où le sens de la responsabilité devient un critère déterminant de la conduite présente et future de sa vie. La moyenne d’âge dans l’association des jeunes étudiants du Kekendo, est de 22 ans et pourtant, les membres sont tous engagé pour en premier rendre à la Casamance toutes les passages de son histoire qui lui ont été dérobé par des esprits qui n’ont d’ambition que de la soumettre, de berner sa population et de profiter de ses richesses. Ses membres sont issus de toutes les contrées de la Casamance et sont bien ancrés dans les valeurs traditionnelles et se comportent en dignes héritiers de leurs ancêtres. 22 ans, c’est déjà un âge pour savoir discerner le vrai du faux, le sincère de la triche, le possible de l’impossible, le fabriqué du naturel etc.
Armée de tout ce bagage, l’association s’est donnée fermement pendant des années, à mieux comprendre la situation de sa Casamance, sa mère patrie, terre de ses ancêtres. Cela pour ne pas commettre les erreurs du passé et pour mieux répondre aux préoccupations des populations de ce peuple abusé par des politiques colonialistes hier (portugais, anglais, français) et aujourd’hui, néocolonialistes (sénégalais).
Tel est le bilan tiré des recherches effectuées minutieusement par la cellule scientifique de l’association. «Nous avons fait de la Casamance et de sa situation, un cas d’école » affirme le président Baboucar Badji.
L’année 2015 qui vient d’être bouclée fut un tournant décisif dans la fulgurante marche de l’association des étudiants de la Casamance plus connue sous le nom de KEKENDO. Persécutée jusque dans ses principes et fondements, ses membres n’avaient d’autres moyens que d’accepter leur sort de Casamançais, traités bien avant les années 1800 de rebelle et d’hostile. Rebelle et hostile, juste par ce qu’ils connaissent leur histoire, leurs droits et considèrent les autres peuples, noir ou blanc, tous comme des égaux et refusent toute forme de domination et de soumission. Dans la charte des droits de l’homme, il est dit : « tous les hommes sont nés, égaux en droit et en dignité », cela, la Casamance la très tôt comprise et adoptée. Ces jeunes (kekendo) sont tous des « vas-t-en guerre, ils sont incontrôlables» martela Thérèse Faye (coordonnatrice nationale des jeunesses républicaine et Directrice de la Case des tous petits) lors de l’organisation des dernières élections de représentants des différentes facultés de l’UCAD. Dans une tribune publiée le samedi 23 aout 2014 et dont nous avons pris connaissance sur le site Le Quotidien, un certain Sidy Mouhamed Sow qui se décrit comme « Coordonnateur provisoire du Mouvement pour la souveraineté monétaire du Sénégal », y décrit avec horreur ce qu’il appelle : « l’étudiant sudiste » et donc casamançais, qu’il traite d’infiltré, de violent à bannir de la gestion des affaires de la cité, comme si l’étudiant Casamançais n’avait pas le droit de concourir au même titre que les autres.
Qui est prêt à accorder son estime et sa reconnaissance à ces fils de la Casamance ?
Rare, cependant Monsieur Fané, ancien chef de la sécurité à la direction du centre des œuvres universitaire de Dakar (COUD) qui a eu à travailler avec les leaders de cette association de fils de Casamançais a eu à soutenir publiquement que : « le Kekendo est une association qui participe énormément à la mise en place et au maintien d’un climat social apaisé dans le campus social de l’université » ; récemment, le 06 juillet 2015, le professeur Mary Teuw Niane a reconnu publiquement devant toute la communauté universitaire de Dakar que : « je ne pourrai remercier assez Pape Baboucar Badji, Président du kekendo pour tout le travail qu’il a conduit jusqu’à la mise en place du mouvement damay diangui et à la matérialisation de cette journée de lancement à l’UCAD ».
Pourtant dans une publication de l’enquête journal, on pouvait lire les propos de, Amath Dansokho, Ministre conseiller auprès du président de la république soutenant : « le président Macky Sall doit tout faire pour éradiquer le Kekendo de l’espace universitaire car c’est un mouvement qui a été instauré par le président Wade pour tabasser les étudiants et ces membres vivent de trafic de lits et de tout genre et gagnent à hauteur de 10 000 000 f cfa par mois ». Voilà l’idée la plus partagée par l’opinion publique de ce qui est le Kekendo et cette campagne monstrueuse et machiavélique est mené par de hauts fonctionnaires de l’Etat, membres du gouvernement qui pensent fort que la Casamance et les Casamançais dignes n’ont pas leur place dans le Sénégal, supposé être leur pays.
Alors pourquoi ne pas laisser la Casamance et les Casamançais s’en aller et faire leur pays ?
D’ailleurs ce n’est plus un secret pour personne et comme l’affirma un officier du service des eaux et forêt au poste de Sénoba, devant un commandant de la gendarmerie nationale lors de l’altercation entre les membres du kekendo et son service : « vous n’êtes même pas des citoyens sénégalais, on fait de la place pour vous et vous vous permettez de rouspéter quand on vous parle ». Voyez-vous, ces marques imposées dans la conscience d’une jeunesse qui ne cherchait qu’à accomplir un devoir citoyen à savoir « participer volontairement et bénévolement au processus de recherche d’un retour définitif de la paix en Casamance ».
En 2012, le cynisme de ses autorités Sénégalaise représentant le pouvoir central à Ziguinchor dans le cadre de la déconcentration se fit sentir avec l’indifférence exprimé par le gouverneur, prétendant lors d’une visite de l’association, que : « moi j’ignore tout de votre association, je ne vous connais pas et concernant la paix, nous (l’Etat) sommes en train de nous occuper de cela, surtout avec les associations de femmes qui sont très engagées ». Natifs de la Casamance, les membres du Kekendo se sont demandé, si eux, ils ne peuvent pas participer à ce processus de recherche de la paix, s’ils sont autant ignorés chez eux, étant l’avenir de cette Casamance, à qui cette paix tant recherchée profiterai ?
La réponse est claire, aux Sénégalais implantés partout en Casamance et qui sont sous le couvert de l’administration et de certains relais locaux dévoués à l’Etat Sénégalais. L’armée Sénégalaise a réussie à faire de la Casamance pour les Casamançais, un territoire de peur, d’échec, de souffrances, d’insécurité, pire, un cimetière à ciel ouvert. Les seules alternatives pour ne pas subir cette calamité sont : l’assimilation, la soumission ou l’exil. Certains disent que le Casamançais préfère garder sa dignité.
Cependant est-ce garder sa dignité en optant pour l’assimilation, la soumission ou l’exil ?
La réponse est bien claire : « NON ». Par l’assimilation, nous avons récolté la trahison, la honte, le mépris, l’indifférence et la non-prise en compte respectueuse et efficace de nos préoccupations ; par la soumission, nous sommes devenus les bras armées qui défendent le Sénégal, nous veillons sur eux pendant leur sommeil, nous produisons pour eux, c’est les activités de ménage pour nos filles très tôt abusées surtout par les hommes de la grande muette ; par l’exil, le pire tombe sur nos épaules, la perte de nos terres, la précarité, l’incertitude, la servitude, la paupérisation, le déracinement, la désolation, en sommes tous les malheurs du monde.
Qu’avons-nous fait pour être traité de la sorte ?
Thomas Sankara a vécu une situation qui lui a permis de comprendre, de s’assumer avec son peuple avant de soutenir que : « l’esclave qui n’est pas prêt à assumer sa révolte, ne mérite pas qu’on s’apitoie sur son sort ».
Sommes-nous prêts, nous Casamançais, à assumer notre révolte ?
Voilà la grande interrogation de notre temps et la réponse ne doit pas attendre, des actions volontaires et fermes doivent être posées partout dans l’étendue du territoire de Casamance pour confirmer notre volonté immuable à nous séparer du Sénégal. Ainsi du 19 au 26 janvier, nous aurons l’occasion à Ziguinchor, précisément à Mangokouroto, siège mythique du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance de prouver encore une fois de plus, que la Casamance n’a jamais été Sénégalaise et ne le sera jamais. La mobilisation durant cet intervalle de temps doit être de rigueur et c’est l’occasion pour la jeunesse, vous qui vous êtes tant battus les uns contre les autres et souvent tant haïs, mais qui pourtant vous reconnaissez comme frères, frères dans la souffrance, frères dans l’humiliation, frères dans la révolte, frères dans l’espérance, frères dans le sentiment que vous éprouvez d’une destinée commune, frères à travers cette foi mystérieuse qui vous rattache à la terre (Etamolale), et que l’exil lui-même, ne peut effacer, de démontrer que l’espoir d’un lendemain de libération est permis.
Dans la situation où nous sommes, penser au passé (les drames, les massacres, l’abus de pouvoir, les persécutions, la discrimination, la désorientation…) nous brise le cœur tandis que le présent (manque réel de volonté politique de sortir la Casamance de cette impasse, programme utopique qui d’ailleurs n’ont aucune cohérence ni aucun suivi, omission et abandon de la jeunesse…) nous enterre, alors quel avenir pour nous (la Casamance) ?
Pour l’avenir, nous savons tous qu’il ne s’agit pas de le prévoir mais de le rendre possible. Alors, la nouvelle Casamance ne sera pas construite par ceux qui restent à l’écart les bras croisés, mais par ceux qui sont dans l’arène, les vêtements réduits en haillons par la tempête et le corps mutilé par les évènements. L’honneur appartient à ceux, qui jamais ne s’éloignent de la vérité, même dans l’obscurité et la difficulté, ceux qui, essayent toujours et qui, ne se laissent pas décourager par les insultes, l’humiliation ou même la défaite.
La vérité sur l’histoire de la Casamance est plus que nécessaire et cela c’est à nous jeunes et à la postérité que vous le devez. A défaut, nous l’édifierons.
Casamance notre patrie, MFDC notre parti, ensemble nous vaincrons.
Baba
toure
oui bravo …………le groupe kekendo nous avons besoins de voire la Casamance libre un jour aujourd’hui qu’on le dis ou non même nos foret ne sont pas libre la preuves la foret est dévaster ,piller par les complice de c’est kipnapeur .
qui son ces exploitant forestier ?
Il son entraine de créer des villages agricole dans la région de sedhiou pour mieux nous intégrer disons non parce que c’est autorités administratives sont leur parents
si les jeunes casamençais ont fait comme le groupe kekindo noserais loin
je fait un appel a tous les casamençais et non pas les casamanqué a suivre la voie du groupe kekendo pour pour libérer le paye
ABÉE Diamacoum a toujours dit qu’il n’est pas pour la guerre .mais on nous a imposer le guerre on n’y peut rien a par nous défendre .
j attire lattention du peuple casamançais que tous les investissement de l’etat du sénégalé est orienter ver le nord .avec la riziculture vers podor et autre a ton besoin des milliard pour produire du riz
vive la Casamance .
vive la jeunesse
en bas les casamanqué
et vive la Casamance
Balla Moussa
Wolf, tu sembles frileux ! Tu ne sais pas ce que tu veux et tu n’as pas confiance en toi !!!! Décomplexes-toi !!!!
CANADA
Ohhhh cher(e) The wolf!!
Ça fait bien longtemps que je n’ai pas entendu cette incertitude de la part d’un fils de la Casamance. Mais par devoir, je vais essayer de partager mon opinion sur la question, en espérant que tu cherche réellement des réponses.
Tout d’abord, la majorité des casamançais ont longtemps été endormi dans la passivité et dans l’attentisme. C’est un très grand handicape social qu’il faut reconnaitre en nous, mais surtout il faudrait avoir le courage de l’éradiquer.
– Pourquoi attendre que quelqu’un d’autre soit dirigent et non toi? Pourquoi d’emblée tu t’exclues toi-même de cette capacité à pouvoir diriger la Casamance? Hey!!!
– En quoi le Kekendo doit-il faire pour les autres Amicales? Et qu’est ce que les autres Amicales ont fait pour le Kenkendo? Qu’est ce qui empêche les autres Amicales de s’engager comme le Kenkendo pour l’avenir de la Casamance, leur Avenir? Nous sommes dans un monde proactif; la passivité ne saurait être Solution
Tu sais The Wolf, nous sommes pour la plupart nés ou grandi dans ce conflit. Et si la Casamance est dans cette situation malheureuse, il y a forcement quelque part une génération de dirigeants Casamançais qui ont failli à leurs devoirs et à leurs responsabilités. Soit qu’ils ont manqué de vision, soit qu’ils ont manqué de courage en repoussant le dilemme aux générations futures, soit qu’ils ont été égoïstes en pensant à leur intérêts immédiats et personnels; hypothéquant du coup l’avenir de tout un peuple.
Nos papas et mamans ont été les premières victimes des conséquences. Ils n’ont pas repoussé le problème à leurs enfants. Ils se sont engagés avec courage, à corriger cette injustice pour que leurs enfants que nous sommes puissent retrouver notre liberté volée. Ils l’ont fait pour nous avec tant de sacrifices, il faut le reconnaitre. Hélas, ils n’ont pas obtenu la liberté souhaitée, mais leur combat a fortement contribué à la reconnaissance et au respect des casamançais même si nous sommes encore très en deçà de nos mérites.
Aujourd’hui, le flambeau est entre nos mains après 34 ans de conflit.
– Allons-nous avoir le courage de parachever le travail entamé par nos papas et mamans qui ont fait le plus dure, avec tous les sacrifices qu’ils ont subis?
– Allons-nous accepter le statuquo de ni paix ni guerre en repoussant comme des lâches le dilemme à nos enfants, malgré le sacrifice déjà consenti par nos parents?
La question est là, entre nos mains et le résultat sera conséquent du choix que nous ferons aujourd’hui.
Ceux qui se sont engagés ne se posent plus la question. Ils ont déjà fait le choix honorable de se battre pour la justice et pour la postérité, y compris pour tes enfants.
Puisse ma modeste réponse t’être utile et te permette de faire le bon choix de s’engager comme tes frères et sœurs pour que la Casamance retrouve la paix et la place qui lui revient dans le grand concert des nations.
Vive la Casamance LIBRE!!!
The Wolf
le KEKENDO il faut leur demandé qu’est-ce-qu-il on fait pour l’amicale des Etudiants ressortissants de la commune de Ziguinchor le M.E.E.D.Z?Et tant d’autre amicale de la Casamance comme ACEPROK de Kolda, Sédhiou… Aprés tout il représente la Casamance.
The Wolf
je suis toujours partant pour l’indépendance. Mais se qui me préoccupe qui va dirigé après vu k entre MFDC il n s’entend pas. Après tout jusqu’à présent il y’a pas accord entre lé différents Cantonnements. Pour le KEKENDO il faut leur demandé qu’est-ce-qu-il on fait pour l’amicale des Etudiants ressortissants de la commune de Ziguinchor le M.E.E.D.Z?Et tant d’autre amicale de la Casamance comme ACEPROK de Kolda, Sédhiou… Aprés tout il représente la Casamance.
Bakinemit
Encore une fois, nous apprecions le grand patriotisme de nos freres de KEKENDO .
La Casamance nous appartient a nous tous. Il est de notre devoir de combattre toute injustice proferee contre notre tres cher patrie la Casamance.
Vive la casamance libre et independante!
Vive KEKENDO!
VIVE LE MFDC ET ATIKA NOTRE ARMEE NATIONALE!
VIVE LE JOURNAL DU PAYS!
kekendo
JE SUIS KEKENDO
Zeus
Rendez-vous donc à Mangoucouro. Nous sommes tous KEKENDO, MFDC et CASAMANCE
G.Boissy
Kekendo démontre par cet article que les «agissements» de politiques et autorités sénégalaises ne font qu’augmenter sa volonté de poursuivre son «combat juste» pour une Casamance souveraine, forte et prospère. Tout au long de leurs activités soutenues d’une série de sorties sur le terrain à travers l’ensemble de la Casamance et même dans le maquis des combattants du MFDC, Kekendo ne semble nullement affectée par la campagne de dénigrement qui la cible depuis quelques mois. Pour l’association Kekendo, les attaques dont elle fait l’objet sont symptomatiques d’un état de panique chez les détenteurs du pouvoir de l’ombre. Les responsables sénégalais veulent transformer la Casamance en état d’indigénat. Comme Kekendo, le MFDC et la majorité des Casamançais, je refuse ce diktat. Vive la Casamance retrouvée.
kankouran
HAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIi. THIOOOOOORRRR MAMA
wato sita
Voila des initiés, de vrais Kekendo, qui rentrent dans la cour des grands de la CASAMANCE. DIEU et la Casamance vous protège.
Je veille sur vous tout le long de votre voyage. Gare au Sénégal et ses complices qui vous couperont la route vers votre pays.
HAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, THIORR MAMA
CANADA
Merci à Baba pour cet article fort intéressant.
La politique sénégalaise de discrimination contre les Casamançais n’a jamais changée et ne changera jamais; tout simplement parce que nous ne sommes pas des sénégalais et la Casamance ne fait pas parti du Sénégal; les autorités le savent très bien.
Leur programme malhonnête à vouloir rattacher la Casamance au Sénégal par la ruse dans une première approche, puis par les armes, est un échec certain et malheureux avec tout son lot de victimes. Cette aventure néocolonialiste d’un peuple noir africain acquis à la cause occidentale contre un peuple voisin jamais soumis est un crime et un handicape majeur contre l’unité des peuples africains. Comme le disait l’Abbé Augustin Diamacoune Senghor, « nous nous sommes endormis casamançais et nous nous sommes réveillés sénégalais ». Mais une chose est sure, NOUS SOMMES NAÎTS CASAMANÇAIS; et ça, personne ne peut le changer dans ce bas monde.
L’association KEKENDO et la jeunesse casamançaise très éveillée font la fierté de tout notre peuple. Que le Bon Dieu vous protège avec la bénédiction de nos ancêtres et les prières de nos papas et mamans.
Vive la Casamance LIBRE!!!
alinou
Bravo Baba pour cet article très pertinent.
Je me demande qu’est ce que les casamançais (es) doivent encore
Subir du Sénégal pour enfin accepter qu’ils ne sont même pas tolérer
Au Sénégal., accepter que quoi qu’ils fassent , ils ne seront jamais
Sénégalais et que le temps est venu de retourner au bercail.
Se positionner et soutenir la plus noble des causes qui est
La libération de notre chère CASAMANCE pour que son peuple puissent
Espérer un futur meilleur.
Mais l’espoir est a la jeune génération qui a découverte et bien apprise la vraie histoire
Du pays des rizières et portera le flambeau à destination.
Vive la jeunesse éveillée
Vive la lutte contre l’oppression.
Vive le refus des Casamançais (es) d’être oppressé au Sénégal et chez EUX.
Vive la lutte de libération de notre Casamance toute entière
Merci le JDP d’avoir donné enfin une voix à la Casamance.
Les journaux Sénégalais ont depuis des décennies assez insultés, diabolisés,
Humiliés…. La CASAMANCE , son peuple , le MFDC et ATTIKA..
On NOUS tue mais on ne NOUS décourage et déshonore pas
Kolda Nafoure
Les autorités sénégalaises s’empressent de liquider tout ce qui est Casamançais, comme si les construire ou leur donner le droit d’éducation était insupportable.
On dirait qu’un Casamançais ou une Casamançaise doit accepter d’être souillé et insulté, sinon il est traité de rebelle.
Si KEKENDO ne réagit pas aux mensonges, on dira que les autorités avaient raison, qu’il n’a même pas démenti.
Pour ceux qui font preuve de discernement pas besoin d’explication, pour les autres, qu’ils s’enfoncent dans leur bêtise! « ENSEMBLE NOUS VAINCRONS- INVICTA FELIX »
Kassoumaye1
LA CASAMANCE EST EN MARCHE ET AVEC DES JEUNES COMME KEKENDO. C’EST INTELLIGENT ET COURAGEUX.
J’AI DECOUVERT LE JOURNAL PAR UN COPAIN DE L’UCAD ET C’EST DEVENU MON ESPACE D’INFORMATIONS SERIEUSES EN CASAMANCE.
BRAVO
toure
oui kassoumaye nous aujourd’hui un journal qui est pour nous un espace de dialogue de d’échange cette espace permet a la population du pays d’avoir des informations sur l’évolution de la lutte pour la libération du pays.
c’est une espace qui nous donne de bonne information.et qui lutte contre la campagne de désinformations organiser par les mouches du sénégal