Le Journal du Pays

Le gouvernement français est très préoccupée par la situation de violences présente en Casamance après le kidnapping à Dakar du chef de l’opposition Ousmane Sonko. Jeudi, le ministère Français de l’Europe et des affaires étrangères a appelé tous ses citoyens vivant en Casamance à la prudence . Dans un message E-Mail adressé aux Français par le Quai d’Orsay depuis Paris, on peut lire : "Dans le contexte actu ...

Les étudiants de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar et les éléments de la police se sont affrontés mercredi et jeudi à coup de jets de pierre et de tirs de gaz lacrymogènes devant les portes de la citadelle universitaire. Une scène de violence qui a envahi le Sénégal et la Casamance après l’arrestation musclé de l’opposant Ousmane Sonko. Le leader du Pastef-les patriotes est accusé de viol, de trouble à ...

Au moins deux personnes ont été tuées et trois autres blessés par balles de l’armée sénégalaise, jeudi lors de manifestation à Bignona contre l’arrestation à Dakar de l’opposant Ousmane Sonko. Depuis hier, des heurts entre l’armée et de jeunes militants et sympathisants du président du Pastef ont eu lieu un peu partout en Casamance. Plusieurs maisons d’élus locaux sont incendiées, les intérêts français comm ...

Les activistes pro-démocratie sont de nouveau descendus dans la rue jeudi en Birmanie pour protester contre le coup d'Etat militaire du 1er février, au lendemain de la journée la plus sanglante depuis le début des manifestations, lors de laquelle 38 personnes ont été tuées selon le bilan de l'Onu. D'après la presse locale, la police a ouvert le feu jeudi matin pour disperser des manifestants à Pathein, vill ...

L’opposant Ousmane Sonko d’origine casamançaise et président du PASTEF, croupit dans une cellule de la gendarmerie sénégalaise à Dakar. Ousmane Sonko devait se rendre ce matin vers 9 heures à la convocation du juge du 8e cabinet d'instruction. Il est cueilli en pleine circulation par les agents du GIGN et acheminé à la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane pour troubles à l’ordre public et par ...

Emmanuel Macron, chef de l’État français, a reconnu mardi 2 mars, « au nom de la France », que le brillant avocat et dirigeant nationaliste Ali Boumendjel avait été « torturé et assassiné » par l'armée française pendant la guerre d'Algérie en 1957. Les tortures puis l’assassinat de l’indépendantiste et anti colonialiste algérien par l’armée française, avaient été maquillés en suicide par les autorités franç ...