Casamance : Tous les détenus de la prison de Ziguinchor en quarantaine, des cas de Covid-19 avérés
Depuis jeudi 23 juillet 2020, tous les détenus de la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Ziguinchor sont en quarantaine. Trois gardiens pénitenciers et quatre détenus sont testés positifs au Covid-19.
Quand on sait que le port obligatoire du masque vise à diminuer le risque de propagation du coronavirus, comment donc est-on arrivé à cette situation dans cette prison hermétique la plus surveillée de Casamance, abritant Oumar Ampoï Bodian, le chargé de mission du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) et René Capain Bassène, le journaliste-investigateur ?
« Même s’il n’est en effet pas toujours possible de respecter la distance minimale de 1,5 mètre en raison du manque d’espace, les gardiens ne sont pas conséquents sur les mesures d’hygiène et de distanciation. Les masques ne sont pas changés journalièrement et certains prisonniers employés aux services extérieurs reviennent en prison les soirs sans avoir de l’eau courante pour se laver. Il y a une semaine les cellules étaient inondées », raconte un administrateur de la MAC.
L’administration pénitentiaire et son ministère de tutelle sont tenus responsables de la santé et de la sécurité de tous les prisonniers étant à leur charge rappelle-t-on.
Samsidine Badji (SAM)
Anonyme
aujourd’hui encore le sénégal utilise les mêmes méthodes comme au tchad, au mali ou ailleurs en afrique pour tuer et spolier les ressources des locaux
Carlos
Question: les prisonniers sont confinés dans les cellules individuelles ou collectives?
Teesito
30 mois sans jugement ? Libérez les héros de la Casamance et défenseurs de l’écologie.
Anonyme
René Capain et Ampoi Bodian sont dans le collimateur, le plan de leur assassinat est en route. Ne prenez aucun comprimé, aucun vaccin. Paroles de médecin militaire…..
Anonyme
elles ont été éduquées a la française voilà tout
Eniabaye123
Ce que tous en Casamance redoutait n’est plus une science fiction. Avec le Covid-19 qu’elles ont tout fait pour introduire en Casamance, les autorités sénégalaises veulent supprimer tous les Casamançais en commençant par les prisonniers les plus fragiles. Ils peuvent leur injecter des piqures ou des vaccins mortels pour raconter qu’elles veulent les soigner.